n° 5056 à 5061** (F5056) - Les années 70
Bloc Les années 70
Paiement sécurisé
Un cadeau différent à chaque commande
Feuille de 6 timbres. Les Années 70
Infos techniques
Date d'émission : 23 mai 2016
Création : Stéphane Humbert-Basset
Impression : héliogravure
Couleurs : quadrichromie
Format des timbres : 26x40mm et 40x26mm
Format du bloc : 110 x 160 mm
Présentation : bloc de 6 timbres-poste
Valeur faciale : 0,80 €
Tirage : 700 000 exemplaires
Après les années 50 et 60, c’est au tour de la décennie des années 1970 d’être à l’honneur.
La télévision
Les Français chantent avec les Carpentier, rient avec Jacques Martin, se piquent de littérature avec Bernard Pivot, se passionnent pour la série des Rois maudits. Le fameux « Bonjour ! » d’Yves Mourousi réveille le journal télévisé. Et dans L’île aux enfants, l’émission jeunesse culte du moment, c’est tous les jours le printemps.
Les sports d’hiver
Les vacanciers découvrent en famille le concept de « front de neige ». Des stations sans voitures, fonctionnelles, conviviales sortent de terre. Des architectes visionnaires, comme Charlotte Perriand aux Arcs, concilient le respect de l’environnement et le nouvel art
de pratiquer la montagne.
L’automobile.
Avec ses phares qui roulent des yeux dans un univers de BD, la pub de la R5 marque les esprits. Le nouveau modèle de Renault est hors norme. Il s’adapte au nouveau statut des femmes, s’adresse aux jeunes, aux célibataires. Sympathique, populaire, en plein dans l’époque, il est immédiatement adopté.
Les loisirs.
La fièvre du samedi soir s’empare du monde de la nuit. On danse au rythme binaire d’une musique qu’on retient instantanément. Le disco devient un style planétaire au look androgyne. Et c’est tout un public post-68 qui adhère à un courant où des voix suaves chantent le sexe, la fête et la vie.
Le Parc des Princes. En 1972, le Parc des Princes revisité par l’architecte Taillibert fait sensation. Les supporters vibrent pour ce stade avant-gardiste conçu pour qu’aucun des 50 000 spectateurs ne soit à plus de 45 m d’une ligne de touche. Le football parisien a enfin un temple à la hauteur de ses ambitions.
La mode. Les créateurs remplacent les couturiers. On ose tout, les superpositions intrépides, les bijoux exubérants, les mélanges d’imprimés savamment dissonants. On porte des combinaisons fluides à fleurs, des paillettes disco et des pantalons pattes d’eph’. La couleur explose. En ville, le jean est roi.