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Timbre du Salon philatélique de Printemps – Montmartre : Basilique du Sacré-Coeur et Moulin de la Galette
Infos techniques
Date d'émission : 13 mars 2017
Création et gravure : André Lavergne
Impression : taille-douce
Couleurs : polychromie
Format : 60 x 25 mm
Présentation : 40 timbres à la feuille
Valeur faciale : 0,73 €
Tirage : 1 500 000 exemplaires
C’est la première fois que la basilique du Sacré-Cœur est représentée en premier plan sur un timbre gravé en taille-douce. La blancheur de la basilique ressort dans son écrin de verdure avec en fond un ciel de printemps parisien, à droite le Moulin de la Galette.
Son histoire commence pendant l’Antiquité, à une époque où la butte accueille des temples dédiés à Mars et à Mercure qui lui auraient donné son nom de Mons Martis et Mons Mercurri. Puis au IIe siècle, y est décapité et un sanctuaire est érigé en sa mémoire.
Des Bénédictins s’installent ensuite sur le tertre, au XIIe siècle, dans une abbaye royale fondée par Adélaïde de Savoie dont il reste aujourd’hui l’église Saint-Pierre. Au XIXe siècle, l’Histoire s’accélère. Montmartre est annexé à Paris et les premiers événements de la Commune s’y déroulent. A l’époque, la butte est encore un village parsemé de moulins et de vignes où vient d’être élevée la basilique du Sacré-Cœur, ses flancs se sont couverts d’habitations à loyer modiques qui attirent les artistes et où se croise une population hétéroclite : ouvriers, prostitués, bourgeois venus s’encanailler.
Le Moulin-Rouge, le Lapin agile, le Moulin de la Galette ou le Bateau-Lavoir deviennent les symboles d’un temps et Montmartre héberge une effervescence culturelle et bohème, satirique et subversive, qui marquera aussi bien l’histoire de la peinture – avec notamment, l’apparition du cubisme – que celle de la musique et de la littérature.
Aujourd’hui, Montmartre continue de vivre d’une manière un peu différente du reste de la capitale.
Infos techniques
Création et gravure : André Lavergne
Impression : taille-douce
Couleurs : polychromie
Format : 60 x 25 mm
Présentation : 40 timbres à la feuille
Valeur faciale : 0,73 €
Tirage : 1 500 000 ex
Salon philatélique de Printemps – Montmartre – 13 mars 2017
C’est la première fois que la basilique du Sacré-Cœur est représentée en premier plan sur un timbre gravé en taille-douce. La blancheur de la basilique ressort dans son écrin de verdure avec en fond un ciel de printemps parisien, à droite le Moulin de la Galette.
Son histoire commence pendant l’Antiquité, à une époque où la butte accueille des temples dédiés à Mars et à Mercure qui lui auraient donné son nom de Mons Martis et Mons Mercurri.
Des Bénédictins s’installent ensuite sur le tertre, au XIIe siècle, dans une abbaye royale fondée par Adélaïde de Savoie dont il reste aujourd’hui l’église Saint-Pierre.
Au XIXe siècle, l’Histoire s’accélère. Montmartre est annexé à Paris et les premiers événements de la Commune s’y déroulent. A l’époque, la butte est encore un village parsemé de moulins et de vignes où vient d’être élevée la basilique du Sacré-Cœur, ses flancs se sont couverts d’habitations à loyer modiques qui attirent les artistes et où se croise une population hétéroclite : ouvriers, prostitués, bourgeois venus s’encanailler.
Le Moulin-Rouge, le Lapin agile, le Moulin de la Galette ou le Bateau-Lavoir deviennent les symboles d’un temps et Montmartre héberge une effervescence culturelle et bohème, satirique et subversive, qui marquera aussi bien l’histoire de la peinture – avec notamment, l’apparition du cubisme – que celle de la musique et de la littérature.
Aujourd’hui, Montmartre continue de vivre d’une manière un peu différente du reste de la capitale.
