PA n°   81 ** - Poste Aérienne -...
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PA n° 81 ** - Poste Aérienne - Georges Guynemer

PA81
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Timbre Georges Guynemer

 

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Timbre neuf** émis pour la Poste Aérienne - Georges Guynemer 1894-1917

Infos techniques
Date d'émission : 11 septembre 2017
Création : Jame’s Prunier
Metteur en page : Bruno Ghiringhelli
Gravure : Marie-Noëlle Goffin
Impression : procédé mixte offset/taille-douce
Couleurs : polychromie
Format du timbre : 52 x 31 mm
Présentations : 10 timbres à la feuille
Valeur faciale : 5,10 €
Tirages : 1 000 000 exemplaires

Légende de l’aviation, Georges Guynemer est incontestablement l’« as » le plus célèbre de la Grande Guerre. Rien ne prédisposait pourtant ce jeune homme malingre à devenir une icône nationale. En 1914, il est ajourné par le conseil de révision : l’armée le trouve trop peu robuste pour supporter les fatigues d’une campagne militaire. Humilié, il parvient à se faire engager comme élève mécanicien à l’école d’aviation de Pau, en novembre 1914.

Le chef de l’école n’est pas enchanté : « qu’est-ce que vous voulez qu’on en fasse ! Enfin, il pourra toujours laver les avions de ses camarades ». Mais Guynemer veut voler et parvient à devenir pilote en janvier 1915. « Il y a une limite à toute chose, et il faut toujours la dépasser », répète-il. Après quelques missions de reconnaissances, il livre un combat aérien en juillet 1915 et abat son premier avion allemand. Affecté à l’escadrille des « cigognes », volant toujours sur des avions peints en jaune qu’il surnomme « Vieux-Charles », il se comporte en vieux trompe-la-mort : s’il accroche 53 victoires à son tableau de chasse, il est abattu à sept reprises mais parvient toujours à s’en sortir et à reprendre le combat.

La presse vante ses exploits et en fait un champion qui permet d’incarner l’aviation française, chevalerie des temps modernes. Sa disparition mystérieuse, le 11 septembre 1917, renforce encore sa légende : en s’écrasant sur le front de la Somme, dans un endroit battu par l’artillerie britannique, la carlingue de son appareil est pulvérisée. On ne retrouvera rien d’elle ni de la dépouille du capitaine Guynemer. Pour l’honorer une dernière fois, la Chambre des députés décide, en octobre 1917, d’apposer une plaque au Panthéon, saluant la mémoire de cet aviateur intrépide dont la devise, « Faire face », est devenue celle de l’École de l’air.

Source Phil@Poste

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