n° 5507 ** - Chapelle royale...
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n° 5507 ** - Chapelle royale Saint-Louis - Dreux - Eure-et-Loir

5507
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Timbre Chapelle de Dreux

 

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La chapelle royale St-Denis de Dreux abrite 40 tombeaux, la plupart surmontés d’un gisant, comme autant d’œuvres d’art réalisées par les plus célèbres sculpteurs. Leur ordonnancement, de part et d’autre du monumental tombeau du roi Louis-Philippe et de la reine Marie-Amélie, confère à l’ensemble une forte solennité.
En cette chapelle, le beau se conjugue à l’Histoire comme une enrichissante mémoire qu’il nous appartient de transmettre.

Infos techniques Date d'émission : 5 juillet 2021
Illustration et gravure : Line Filhon
Impression : taille-douce avec encre dorée
Format : 40.85 x 40.85 mm
Présentation : 12 timbres à la feuille avec marges illustrées
Tirage : 495 000 exemplaires
Valeur faciale : 1,28 €

Longtemps propriété de la Couronne, le vaste château de Dreux est entré à la fin du XVIIIe siècle dans le patrimoine d’un éminent membre de la famille royale, le duc de Penthièvre.
Le site était alors en fort mauvais état mais y subsistait une collégiale au sein de laquelle ce prince choisit de faire inhumer ses défunts.
Durant la période révolutionnaire, cet insigne exemple d’architecture gothique fut détruit.
Il faut attendre la fin de l’Empire pour que l’héritière de la famille, la duchesse douairière d’Orléans (1753-1821), puisse racheter le domaine rendu à l’état de ruine.
C’est elle qui commanda la construction d’une nouvelle chapelle de style néoclassique pour abriter les restes de ses ancêtres.
Séjournant à Dreux, le jeune Victor Hugo définit ainsi le monument dans une lettre à Alfred de Vigny : "c’est un tombeau qui s’élève sur un château qui croule."
La chapelle funéraire n’est pas encore royale. Elle ne le sera qu’après la révolution de juillet 1830, lorsque Louis-Philippe deviendra roi des Français.
L’édifice a alors vocation à devenir le "Saint-Denis" de la nouvelle dynastie et le roi décide de son agrandissement.
En quelques années, le goût a changé et c’est un habillage néogothique qui est imaginé. L’édifice, s’il est impressionnant, n’est en rien lugubre grâce à la présence d’une exceptionnelle suite de vitraux, aussi colorés que figuratifs. Ils ont été réalisés par la Manufacture de Sèvres d’après des cartons de grands artistes contemporains : Ingres, Delacroix, Viollet-le-Duc…

Source Phil@Poste

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